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Arnaud Delporte-Fontaine

Donc, si je comprends bien, selon Macron, l’idée générale est de continuer sur la même lignée générale, la gueule masquée jusqu’à perpète, de se faire vacciner contre la connerie sous peine d’être exclus des espaces publics, de ne plus pouvoir voyager, etc., d’être fliqués par des cartes biométriques pour circuler librement, mais attention, hein, rien n’est obligatoire, il n’y aura pas de discriminations… Et puis, le nucléaire, c’est bon pour la planète, il paraît même que ça purifie les nappes phréatiques et guérit les cancers, on continue sur la même lignée, c’est bien, on est les rois du monde. Et puis, on est pas une dictature, c’est sûr, il y a pire ailleurs, il suffit de jeter un coup d’œil du côté de la Turquie, ils ont bon dos, les Turcs… Et puis, la violence est modérée dans nos rues, tout le monde s’adore librement, sans se dénoncer ou se mettre sur la trogne… Et puis, la musique, le cinéma et la littérature, c’est mauvais pour nos mœurs, ça ne rapporte rien au PIB, il faudrait passer un coup de balai sur la scène de ces inutiles saltimbanques qui ne servent pas nos banques. Et puis, le macronavirus est tombé du ciel par hasard sans nulle intervention humaine, c’est encore la faute au bon Dieu. Et puis, il paraît que masquer des enfants de six ans à l’école, c’est bon pour leur développement mental et leurs voies respiratoires… Et puis, l’opinion publique est d’accord avec ça… Et puis, le monde hyperconnecté virtuellement, déconnecté réellement, c’est le futur, c’est comme ça, il faut faire avec… Et puis, on est tous des cons. Quand allons-nous mettre un terme au règne de cet ignoble connard ? Cessons ces manifs où les flics et les excités se tabassent allègrement, et rassemblons-nous tous, main dans la main, devant les portes de l’Élysée et délogeons ensemble, Macron…

Arnaud Delporte-Fontaine

Ces jours de grise mine, où tout le monde tire la langue devant son miroir pixelisé, où chacun vibre d’impatience (d’un plausible retour à cette « normale » tant fantasmée) sur sa chaise encroutée, où l’on masque son enfant pour aller à l’école de leur République comme l’on tient son chien en laisse pour aller aux parcs publics – à l’exception de celles et ceux qui résistent encore et toujours à l’envahisseur (dont je fais partie, et ça n’est pas de tout repos, croyez-moi…) – où échanger avec plus de six « complices » dans la rue est passible d’amende, où la scène musicale est prohibée, où la musique est pestiférée, où les théâtres sont clôturés, où la toile Internet a déchiré celle de nos cinémas, où l’on censure les livres pour ensuite interdire à nos libraires de nous les proposer librement, parce que lire fait réfléchir, et on le sait, la pensée éclairée a le pouvoir de chasser les peurs irraisonnées, donc faire la nique à l’interdiction d’y voir clair – je songe à ces années sixties où cette jeunesse arborait fièrement de longs cheveux longs aux vents (aujourd’hui, le crane rasé dans le vent nous va comme un gant hygiénique) revendiquait une liberté d’aimer, de danser, de chanter, de s’unir en paix, de se « french kisser-fucker » frénétiquement, de dire « non » à la guerre, de vibrer à l’unisson, partout sur Terre, etc., etc., etc. Où Des Kerouac, des Morrison, des Hendricks, des Janis Joplin, etc., etc., etc., bref, tous ces artistes morts avant l’heure, parce qu’ils étaient trop sensibles, trop connectés à l’éther, et sans doute hyper conscients de ce noir futur qui allait s’installer durablement. Nixon avait déjà ouvert le bal des mensonges. La guerre du Vietnam et l’ultra capitalisme nés des cendres du nazisme avaient déjà fait des ravages en écho à Barjavel. Le nucléaire montrait déjà sa radioactive trombine, etc., etc., etc. Certes, les utopies peace and love n’ont pas le pouvoir de résister aux machines de guerre du capitalisme, axées sur la peur de manquer, ou de périr en sa demeure avant d’avoir pu consommer sa part du gâteau terrestre, il n’empêche, on préfère la chaleur flower power des hippies, beatniks, pacifistes… qu’importe leur appellation, aussi naïve soit-elle (la naïveté ne rime pas avec la débilité, au contraire) à celle mortifère d’un système qui isole l’humain dans sa tête, derrière un masque, chez lui, dans l’espoir de mieux consommer plus tard. Ne vaut-il pas mieux prendre le risque de choper une grippe hors saison que de rester enfermé en soi, sans hymne à la joie ?

Librement vôtre,

Arnaud Delporte-Fontaine

Celles et ceux qui masqueront lundi 02 novembre leurs enfants en bas-âge dans les écoles pour satisfaire l’hystérie collective sont des criminels. Quand l’Éducation Nationale approuve ces outre-mesures, elle collabore avec cette folie ambiante plus contaminante que le macronavirus et est de fait responsable de la faillite non des caisses de l’État, mais de la génération de demain ! Non au masque pour les enfants ! Pensez à eux et non à vos peurs ! Pensez à leur futur et non à vos carrières ! Pensez à ce futur (ces enfants que vous aurez masqués) qui jugera notre génération liberticide et les criminels à la tête de nos pays qui tuent notre culture, étouffent nos libertés, nous enferment contre notre gré, tels des cobayes décérébrés et nous imposent un monde hyperconnecté virtuellement et non réellement sans se soucier de cette Terre qu’ils empoisonnent pour le bien collectif de la société de consommation et de leurs portefeuilles dorés. Non à l’hystérie sanitaire ! Oui au sourire des enfants. Lundi, je ne masquerai pas mon enfant, et vous ?

Arnaud Delporte-Fontaine

Nous vivons sous le joug d’une dictature sanitaire dictée par des scientifiques illuminés qui n’ont d’autre intérêt que de nous rendre dépendants de leur système pharmaceutique qui nécrose notre santé depuis des lustres pour mieux enrichir leurs potes technocrates. Ils appellent ça le progrès. Le progrès de quoi ? De qui ? Et l’humain, dans tout ça ? Et le climat ? Et la planète ? On s’en fout de la planète ? Je vous le rappelle, quand il fera plus de 40° l’été partout en France d’ici quelques années et dans la durée, vous aurez de réelles raisons de flipper pour votre précieuse existence, et j’espère que vous aurez une pensée pour cette poignée de riches ventrus qui n’auront cessé de se gaver de denrées venues d’ici et d’ailleurs, comme ces minerais « de sang » piqués aux Africains assoiffés et affamés pour concevoir ces téléphones 5G qui ne servent qu’à satisfaire des egos mal torchés, tandis que le reste du monde aura continué de crever lentement mais sûrement, en silence. Quand allons-nous cesser cette ridicule farce virusée qui fait plus peur que mal, de tendre l’oreille à ces pathétiques cris au loups, et comprendre que les dirigeants du monde tentent de nous endormir pour continuer de profiter (sans nous) d’une Terre à bout de souffle, sur le point de dégueuler son trop-plein d’humains, pour enfin prendre le temps (que nous n’avons guère…) de réfléchir à un monde dirigé par l’Amour (de l’autre ) et non de l’Argent (et l’illusion de son besoin) ? Alors, cessons d’avoir peur des ombres de l’autre, du souffle de la vie, arrêtons d’écouter les mesures gouvernementales, et ensemble, trouvons des solutions pour demain. Pour commencer, on pourrait réfléchir à comment sortir des mailles de la 5G et de la 5eme République, non ?

Arnaud Delporte-Fontaine

Suite à mon précédent billet incitant à la désobéissance civile des suites des mauvaises couches gouvernementales apposées sur nos libertés, on m’a, une nuit, la semaine dernière, coupé la fibre optique, d’un coup de pince mal avisé, vous savez, cet Internet qui me permet de communiquer avec vous librement. Mon câble retapé depuis par un bienveillant technicien, j’en profite pour réitérer mon appel à résister aux mesures prises (et à venir) par les gouvernements du monde entier, mais, cette fois dans la langue de Shakespeare, en espérant toucher de près comme de loin nos amis Anglais et partout sur Terre !

Et leur dire qu’ils ne sont pas seuls !

We are the world…

I have to say, things are quite crazy in France and around the world with this “pseudo” coronavirus epidemic, perfect excuse to impose madness. Which does exist but isn’t pandemic at all (just venture outside the borders of mainstream medias and around the world, and you’ll see what I am talking about…) We are swimming in the dark waters of collective hysteria, with a New World Order of terror who wants to crush thoughts, love and freedom. Between these useless masks, this reclusive confinement, the all vaccine policy, the bad vibes of the 5G, and this all-powerful Scientific council who wants to transform us in guinea pigs, tell us what to eat or not to eat, tell us how to dress and confine sexuality, pit men against women, religions against religions, human beings against human beings, tell us that music is pandemic – it is the opposite, music heals bodies and minds – I have to say, we are quite in deep shit… And it is our duty, as freedom fighters, to say “no” to this dictatorship which reigns with fear, lies, money, hate and separatism. We have to say “no” for our children and future generations, in order to keep faith in human, and take care of our wounded planet… If not, we are all going to end in jail or worst, like Julian Assange or Nelson Mandela because we won’t be in tune with our government, because we’ll be vegetarians and not meat eaters, or just because we won’t have the right skin colour… Because the true debate is here… How are we gonna look at ourselves in the mirror, fully masked? Think about that…

Peace, love and freedom!

Arnaud Delporte-Fontaine, writer, freedom fighter, world citizen.

If you think like I do, you are not crazy, even if your “friends” and “family” says so, because of fear. You are not alone, just watch this video:

https://odysee.com/@Miniver:4/Alliancemondialemedecin:1?fbclid=IwAR3OVvk8wlLctRFJjulgk2OVX-xI4p8znLVOyBFhdO8tYyZH5e-xEh_5DF4

APPEL A LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE
Suite à l’annonce du couvre-feu d’hier, mesure liberticide parmi tant d’autres cette année passée. Je vous invite à la désobéissance civile la plus totale, à savoir: sortir démasqués de jour comme de nuit et sortir la nuit tout court. Ah oui, j’allais oublier l’essentiel, n’allez plus pointer à ce travail qui vous use les viscères pour combler la panse pantagruélique d’un patron colon. A quoi bon travailler si vous ne pouvez même plus consommer en paix (car c’est le but ultime ? Non ? Consommer un max histoire de remplir son vide existentiel ?) Je vous invite à stopper toute activité qui enrichit cet État de non-droits qui suffoque nos libertés. A quoi bon poursuivre l’illusion de cette vie d’antan (en attendant ce retour à la normale qui n’arrivera pas) ? Je vous invite à garder votre sang-froid et ne pas tomber dans cette violence qui défoule en vain. Le temps de la pause s’impose. Réfléchissez, méditez, reconstruisez-vous autrement, sans le système, sans les applications made in Macronland, sans leurs peurs contagieuses, écoutez vos instincts, votre nature première et reconnectez-vous avec votre environnement… Et vous verrez, que sortis de leur pensée 5G, ils ne pourront plus rien vous enlever… Pour un monde sans eux, pour nos libertés, pour la planète, pour l’Amour, pour la paix.

Arnaud Delporte-Fontaine, écrivain, citoyen libre…

Cette nuit, je n’ai pas dormi. Le silence de Paris qui embrunie ses esprits m’a tenu éveillé. Alors, comme toujours en ces pesants moments, j’ai sorti la plume de mon oreiller.

La nuit, à Paris, depuis ses interdits, on entend ses respirations internes tant son calme rural est pesant. A Paris, on conduit désormais dans un sens unique qui débouche sur un cul-de-sac. Devant les interdictions de danser la joie, de chanter la vie, de visiter ses parents, de festoyer avec ses amis, d’émerveiller son esprit sans suffoquer derrière son masque dans un musée, de contempler la Seine l’esprit léger, de sourire à la vie dans la rue, bref, de sortir librement pour un rien, les mains dans la poche, comme ça, à l’arrachée, en sifflotant un air de Piaf, ses citoyens résignés par tant de contraintes, se sont reconfinés. Ils ne sortent plus que pour aller besogner pour becqueter et non plus pour se bécoter dans un parc. Je ne réponds plus à l’appel de ce triste présent.

Notre peuple est aphone. Tant nos libertés se sont racornies, tant le diktat de la morale et des extrémistes bien-pensants ont rhabillé nos vénusiennes.

Je n’ose plus fantasmer sur les seins de Sophie Marceau quand je pense à cette jeune fille refoulée du Musée d’Orsay parce qu’elle portait un décolleté plongeant. Quand je vois les cache-sexes enfilés sur l’intimité des statues de l’Unesco exposées lors des journées du Patrimoine, pour ne pas heurter la sensibilité des âmes sensibles pudibondes, l’envie me prend d’exhiber mon sexe dans la rue…

Je n’ose plus relire mes Agatha Christie quand je vois le mauvais lifting qu’on a fait, à son insu (forcément les morts ont toujours tort) à son œuvre livresque, ni relire les aventures de Tintin quand je pense à cette réputation de colon à tendance raciste qu’on lui a collé à la peau comme le sparadrap de Haddock, ni regarder un film labellisé Weinstein, comme un vieux Tarantino, quand je me dis que ses réalisateurs et ses acteurs maison, ont tu ses frasques sexuelles, et donc collaboré à son empire du harcèlement. J’ose encore moins revoir les Harry Potter, quand je constate le sort de ses livres qui se consument en Autodafé, parce que son auteure n’est plus en phase avec cet air du temps suffoquant chaque jour nos libertés encore plus. Je n’ose plus causer à un quidam planqué derrière son masque dans la rue, par peur de sa peur, ou par peur de me faire dénoncer pour non-port du masque. Quand je n’entends plus les professeurs, bâillonnés par les pouvoirs publics, s’égosiller derrière leurs cache-mouches pour transmettre le savoir, je reste aphone, comme eux. Quand j’entends les enfants me raconter qu’ils étouffent derrière les masques qu’on les force à porter chaque jour à l’école de la République, je m’asphyxie, comme eux. Quand je vois Macron s’adonner à la chasse à courre le dimanche, une curée avec son curé, alors que le monde animal est au plus mal, c’est ma chair qu’il mutile avec ses projectiles.

Quand j’entends que le COVID19 (où sont passées les 18 premières versions ?) est une possible invention des humains pour « je ne sais » quelles raisons déraisonnées, je m’infecte en silence.

Quand je revois des visages et des paysages, A bicyclette, je partage…

Osément vôtre,

Arnaud Delporte-Fontaine

https://www.rtl.be/info/belgique/societe/le-calvaire-des-profs-masques-en-classe-j-ai-mal-a-la-gorge-a-force-de-parler-fort-et-je-suis-essoufflee-video–1242952.aspx?dt=20%3A32&fbclid=IwAR1DNkj7bTWw2G7j2AmJ-LNNRQdeRbnmgdHCKmjXwq8AkA-JsgBp6WfLIRo

https://www.lefigaro.fr/culture/l-unesco-met-un-string-a-ses-statues-pour-ne-pas-heurter-la-sensibilite-du-public-20191028?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3&fbclid=IwAR2NqSFfLesK0Lnl9ZAoMBUbX8FfORy3CLiKS30EM4FXjZEw5R9_5WA5wNc

https://www.lemediatv.fr/emissions/2020/interdite-dentrer-au-musee-a-cause-dun-decollete-7rF6JulAQ4m1NJvm6RUrYA

Ce jour du 12 septembre, Paris aura été à nous, les citoyens, le temps d’une récréation. Pas vraiment, en réalité, avec les cloisonnements sectorisés installés par les forces de l’ordre, les manifestants auront eu du mal à se retrouver et s’unir.

Selon les médias officiels (Bfmtv…), le mouvement contestataire (Gilets Jaunes, etc.) semble s’être quelque peu dégonflé depuis l’année dernière. Vous me direz, c’est normal, il est difficile de retrouver ses repères après avoir été empilés comme des veaux dans des boîtes à sardines ces mois passés. Entre l’encroutement chez soi, l’hystérie virale pour masquer l’hystérie économique, et les interdictions de manifester sur la place publique républicaine, organiser un mouvement de grande ampleur est devenu très difficile, pour ne pas dire impossible.

Impossible n’est pas Français.

Pour ma première manifestation en compagnie des Gilets « toutes couleurs confondues » (de mon côté, je n’adhère qu’à la liberté), hormis le désappointement de certains, quant à l’apparente désaffection des opposants au pouvoir, je constate que la France se sera tout de même mobilisée ce 12 septembre à marquer dans les annales, car première salve de coups de gueule à venir, et preuve, que partout sur le territoire, les citoyens ont retrouvé la rue !

Mes échanges avec les contestataires, de tous bords, ont ceci de commun : une colère rentrée. Une rage bouillonnante. Une haine viscérale envers cette clique présidentielle qui se terre derrière des décrets/ arrêtés pris à la volée, par peur du vilain Français. Il faut comprendre ceci : Macron est terrorisé à l’idée qu’un Français en attente à sa vie. C’est cela aussi qu’il faut retenir… Différents échanges le confirment… Jamais un président Français n’aura suscité autant de haine. Je ne vous parle même pas du jour d’après sa démonstration non-concluante du port du masque face à des lycéens la semaine passée. Quand un médecin ne supporte pas le traitement qu’il administre à ses patients, il dégage. C’est simple, non ?

Aussi, ce 12 septembre, était palpable ce sentiment de viol… des droits élémentaires comme celui de respirer librement sans se prendre une contravention, de se retrouver en famille, entre amis, d’assister à un spectacle en se curant le nez, ou de faire la fête dans la rue ou ailleurs…

Cette dictature sanitaire, on le sait, n’est que le fruit de la déraison d’un conseil scientifique missionné par le saint patron du pays, Emmanuel, pour masquer les crises économiques, sociales et écologiques, qui, elles sont bien réelles.

Encore une fois, l’idée n’est pas de dire que ce virus n’existe pas. Il n’est pas le fruit d’un imaginaire collectif. C’est son impact réel qui est illusoire. La pandémie est derrière nous (nous sommes en phase d’extinction de la « pandémie » du printemps, dixit le professeur Toussaint), ou devrais-je, dire n’a jamais vraiment existé: les malheureux décédés des suites du virus étaient déjà bien mal en point (paix à leur âme) et n’avaient guère d’espérance de vie à long terme. Si je suis atteint d’une pneumonie (ou autres surprises) et qu’en bonus, je chope une grippe ou le coronavirus, c’est sûr que je ne donne pas cher de ma peau… Quant aux cas dépistés positifs, la plupart, on le sait ne sont pas tombés malades. D’ailleurs, si l’on devait tester toute la France, l’on constaterait que nous sommes positifs à bien d’autres maladies… Donc…Allons-nous cesser de respirer/circuler/vivre parce que nous sommes porteurs de germes/maladies/bactéries/conneries ambiantes depuis… l’aube de l’humanité ?

« Soyez réalistes demandez l’impossible » lisait-on sur les murs de Paris en mai 68…

Et l’impossible n’est pas si inaccessible.

Il suffit de sortir de chez soi, de se démasquer et d’ouvrir sa gueule… Le reste suivra naturellement.

Est-ce que celles et ceux qui ne gobent pas les mouches informatives des médias mainstream sont complotistes pour autant ?

Voyons ce que dit à ce sujet, notre ami George Orwell : « plus une société s’éloigne de la vérité, plus elle déteste ceux qui la disent. »

Rien à ajouter à la citation de l’auteur de 1984

Ah oui, hier, au cours de la manifestation, j’ai rencontré des citoyens qui militaient pour la libération de Julian Assange… « Ce méchant complotiste sataniste mangeur de kangourous » risquant la peine de mort s’il venait à être extradé aux Etats-Unis (et enfermé depuis 2012 si je ne m’abuse). Vous comprenez que si cela arrivait, cela signifierait que n’importe quel lanceur d’alerte serait désormais en danger de mort, et ce quelque soit sa nationalité et le pays où il se trouve… Dingue, non ?

Mes idées et conseils pour la suite ?

Ne pas céder à la peur véhiculée par les médias.

Propager ce vilain virus, qui n’atteint que l’élite, appelé désobéissance civile. Un exemple : ne pas porter son masque dans la rue, dans mon cas. Ou refuser de montrer sa carte d’identité aux flics qui vous contrôlent à l’arrachée… Et tant d’autres idées qui vous viendront naturellement.

Que risquez-vous, sinon une amende de 135 euros (que vous pourrez contester), ou bien un petit tour à la garderie pour grands enfants que nous ne sommes pas (ils aimeraient bien) de quatre heures…

Je pense qu’il est temps de se recentrer et d’ouvrir les yeux sur la cinquième République et ce Nouvel Ordre Mondial dans lequel une minorité gouverne une majorité, et de réduire nos ambitions planétaires pour se recentrer sur soi, la proximité et son environnement…

Cessons de lorgner jalousement sur Mars et regardons-nous gaiement droit dans les yeux…

Joyeusement vôtre,

Arnaud Delporte-Fontaine

Ce jour, je n’applaudis pas les kapots de la République. Ces directeurs d’école, qui sous prétexte d’un arrêté préfectoral et non d’une loi, forcent les enfants de 11 ans et plus à s’éduquer en masquant leurs visages. Je n’applaudis pas ces esprits pétainistes qui expliquent à nos enfants en bas-âge de moins de 7 ans qu’il faut se masquer pour ne pas tuer ses grands-parents. Enfants, qui rentrent chez eux avec la peur au ventre, ou dans l’idée qu’ils vont assassiner leurs ancêtres d’un câlin. Les petits, dont les grands-parents ont perdu la vie dans l’année 2020 porteront, de fait, la culpabilité de les avoir menés à l’abattoir, a vie… Culpabilité de quoi ? D’avoir embrassé un ancien démasqué ? D’avoir joui de la liberté de respirer ? D’avoir postillonné sa joie de vivre au nez de son grand-père ? Aux « hygiénistes anti ensauvagement », à tendance répressive, je dis ceci : aujourd’hui, vous êtes couverts (et vous adorez ça) par ces pouvoirs publics qui nous infantilisent, qui piétinent nos libertés, qui verbalisent celles et ceux qui prennent un bol d’air en dehors de leurs murs claustrés (Macron a ainsi créé un impôt sur le droit de respirer de 135 euros et plus), qui nous préparent au « tout vaccin obligatoire », qui vendent ces applications « séparatistes » destinées à traquer les soi-disant contaminés, qui s’essuient les pieds sur la présomption d’innocence, d’être en bonne santé, et non d’être un plausible porteur d’un virus « tueur en série » dans leur fiction propagandiste à échelle international. A celles et ceux qui prospèrent dans ces conditions-là, à celles et ceux qui chantent et jouent sur scène pour continuer d’amasser, coûte que coûte, des liasses de billets, pour se payer une résidence secondaire en Provence, plutôt que de se battre pour la liberté d’exercer leur art en toute liberté, et qui préfèrent un public en laisse et soumis – qui, de toute façon, ne sourira pas derrière son masque (cessez de fantasmer) devant la désolation qu’est votre scène fermée à la joie – à une foule en liesse, à celles et ceux qui incitent à la distanciation sociale, au sexe virtuel et non réel, tout ça pour préserver la tranquillité d’esprit de celles et ceux qui préfèrent vivre enfermés devant un monde Interné(t) plutôt que d’aller embrasser leurs futurs, au-dehors, librement… Je leur dis : profitez de cette parenthèse hystérique, et le port de ces masques qui polluent nos poumons avec leurs microparticules et étouffent nos organes (personne n’a pensé aux femmes enceintes masquées qui respirent pour deux ?), sachez que la roue de la fortune tournera en notre faveur, à nous, celles et ceux qui avons préféré continuer d’ouvrir grand nos gueules devant vos peurs intestines qui n’excusent pas tout ! Sachez que nous n’oublierons pas ce viol de nos intimités et que nous serons, bientôt, enfin libres de prendre soin des autres et surtout de notre Planète ! Car, pendant que vous nous endormez les sens, elle continue de périr à petit feu, silencieusement.

En dépit de toutes ces horreurs, l’espoir renaît car, l’arrêté préfectoral imposant le port du masque à l’extérieur dans le Rhône et le Bas-Rhin vient d’être retoqué par la justice ! Merci à ces juges qui ne plient pas sous le poids Sisyphe de cette pensée unique menaçante de l’Etat de non-droit de Macron.

En attendant ces jours meilleurs pout toutes et tous, en attendant le retour des chants libertaires, rendez-vous partout en France le 12 septembre avec ces gilets qui portent désormais toutes nos couleurs ! Faisons à nouveau vibrer ces cordes vocales muselées par le Nouvel Ordre Mondial de Macron et ses confrères de la peur !

Un billet écrit la gueule ouverte,

Arnaud Delporte-Fontaine

https://www.lemediatv.fr/emissions/2020/tous-dans-la-rue-le-12-septembre-vrnQsaSpSeeCfiTHm8FNjQ

https://www.lemediatv.fr/emissions/2020/les-ecologistes-en-rebellion-contre-la-repression-Q5sJ9WucS06qYAEtT3KlwA

Ce jour, je chantonne :

« Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
A bicyclette
Nous étions quelques bons copains
Why avait Fernand why avait Firmin
Why avait Francis et Sébastien
Et puis Paulette… »

… un hymne à la joie interprété par le Papet, Yves Montand (sur une musique de Francis Lai avec des paroles de Pierre Barouh), Montand, qui de son temps, aura pris du bon temps… De mon temps, à moi, t’as plus le droit au bon temps, ni de chanter la joie, d’embrasser tes amours, de sourire à autrui ou de respirer la vie. T’as tout juste la permission de tirer la tronche embué dans ta mauvaise haleine derrière un masque culotté. Et parce que penser autrement que la pensée commune est désormais synonyme de complotisme à tendance extrémiste, puisqu’oser prendre un bon bol d’air dans la rue, ou refuser les pseudo-vaccins de Bill Gates (qui n’a pas vacciné ses enfants) que le Nouvel Ordre Mondial (je préférais la zic de New Order…) se prépare à inoculer dans nos p’tits bras tendus à force de taper sur nos claviers (à défaut de la gueule des anti-masques) dans quelques mois avec d’autres mesures dites « pour le bien commun », « pour le respect d’autrui », « dans l’intérêt de tous », comme pourquoi pas l’adoption d’une coupe de cheveux militaire réglementaire pour toutes et tous dans les espaces publics et privés histoire de respecter les nouvelles normes hygiénistes (le cheveu long, ça fait désordre)… Car le masque, rappelons-le n’est qu’un symbole de ce qu’ils sont capables de vous imposer… Au fond, on s’en cogne du masque… Mais pensez un instant : s’ils sont capables de vous interdire de sortir de chez vous, de vous obliger à porter le masque… Quels autres désastreux As liberticides ont-ils encore dans la manche ? A quoi va-t-on renoncer quand une réelle catastrophe nous tombera sur le coin de la gueule ?

Tenez par exemple, leur dernière leçon de civisme hygiéniste est principalement destinée à nos ados et la jeunesse : embrasser sur la bouche son Roméo ou sa Juliette est aujourd’hui presque un délit… Je cite France Bleu : « Les autorités sanitaires demandent d’éviter les contacts au maximum, y compris de s’embrasser ou de se serrer la main » Ah, ces sales adolescents et leurs pulsions sauvageonnes, comme dirait Macron, nous allons mâter les instincts primaires, nous allons reciviliser ces sauvages qui peuplent notre pays aux mœurs barbares. Bientôt, nous devrons masquer nos anus pour éviter de péter au nez des passants. A quand le masque anti pets contaminés ?

Bref… Plutôt que de rabâcher la folie dans laquelle nous vivons pour le pire, je vous propose une petite échappée, lumineuse en soi, peu coûteuse, écolo, bonne pour la santé et sur les clous… je veux dire dans le respect des lois… Je vous propose donc une balade à vélo, comme le chantait si bien Montand… Car, le vélo, mieux que votre meilleur ami, qui désormais vous demande de porter la burqa, vous offre la possibilité de respirer en paix, librement, éhontément et surtout de vous déplacer sans porter le masque de la peur.

En effet, le décret hors-la-loi (qui contredit la loi de 2010 interdisant le port du masque en lieu public. Petit rappel : un décret est en-dessous d’une loi) : qui interdit aux piétons d’ouvrir leur gueule ne concerne pas les cyclistes en Île-de-France : « Le port du masque n’est plus obligatoire pour les cyclistes et les personnes pratiquant une activité physique. » Je ne sais pas pour les autres bleds (je crois que c’est du tout bon dans le département du Rhône), mais je pense que vous allez trouver vos solutions, le maquis et ses sangliers, par exemple, me semble une bonne option à la connerie humaine.

A bicyclette, vous pourrez même accompagner vos gamins à l’école sans vous voiler la face… Bref… Je vous laisse imaginer vos nouvelles libertés…

Donc, très chers et chères piéton(ne)s, adoptons le vélo comme notre meilleur ami, et faisons, nous aussi, notre Tour de France !

Et gobons des mouches à foison !

Libertairement vôtre,

Arnaud Delporte-Fontaine